Jusque là, je travaillais en gros de 9h (9h30) à 19h tous les jours (avec une pause variant de 1h à 1h30 pour manger) sauf le lundi ou je finissais à 13h (aprèm libre).

Lorsque j’ai remplacé, pendant ses vacances, la collègue qui, comme moi, est à cheval entre le cabinet médical et la clinique, je me suis rendue compte que le lundi après-midi était une demi-journée très très éprouvante !

Je pense que le message est enfin passé, puisque vendredi dernier, un des cardio m’a annoncé que ma demi-journée de dispo allait passée du lundi après-midi au mardi matin.

Pour se faire, il faut organiser un peu différemment le planning du mardi matin de cardio chouchou. Du coup, au lieu d’être à la clinique (où j’étais avant le mardi matin, mais je n’y serais plus), il sera au cabinet (où il y’a deux secrétaires).

Lorsque le cardio m’a demandé quand est-ce que je pouvais commencer à travailler le lundi après-midi, j’ai répondu "Le 29 avril, pas avant, j’ai des rendez-vous très importants."

(C’est à dire que moi, contrairement à vous tous on dirait, j’organise ma vie à l’AVANCE parce que je sais que tout le monde n’est pas à ma disposition au moment où je l’ai choisi.)

La secrétaire qui organise les plannings étais furax en entendant ce changement de planning ! Je pense qu’elle n’a pas trop eu son mot à dire en face du cardio qui lui annonçait le changement (c’est quand même lui le patron), du coup, elle a passé ses nerfs sur moi.

"Tu comprends, nous on n’a plus 25 ans !" (Est-ce que ça veut dire que moi je peux bosser plus parce que je suis plus jeune ?)

"En plus, depuis toujours on nous enlève du personnel au cabinet pour le mettre à la clinique !" (Ouais enfin c’est pour soulager une collègue quand même !)

Et autres joyeusetés de ce genre.

Le fait que moi ça ne m’arrange quand même pas du tout de finir TOUS les soirs de la semaine à 19h on s’en fou bien sûr.

Comme elle était déjà furax, j’en ai profité pour lui parler d’un autre sujet qui fâche : les vacances pour le mariage et elle m’a dit que oui, je pourrais avoir la semaine d’avant le mariage en congés ! HOURRA !

Comme en plus mercredi 8 mai, jeudi 9 mai c’est férié, qu’on fait le pont vendredi 10 mai, que lundi 20 mai c’est à nouveau férié et que je ne reprends le travail que mardi après-midi, ça me fait 13 jours et demi de congés en tout pour 5 posés ! Cinq jours qui ne comptent même pas dans les 5 semaines de congés annuels puisque ce sont des congés exceptionnels pour événement familial ! YOUPI !

Je crois que depuis le jour où on a décidé que c’était cet appartement là qu’on allait acheter, Coupin s’imaginait avec la masse entre les mains en train de tout péter !

Son rêve allait être exaucé aujourd’hui grâce à des potes qui nous ont prêté pas mal de matos (dont la masse en question, qui est en fait un merlin, c’est à dire une masse d’un côté et une hache de l’autre) et des bras supplémentaires pour deux d’entres eux (puis ma sœur et son homme nous ont rejoint dans l'aprèm).

Nous arrivons au nouvel appart entre 9h et 9h30, le temps pour moi de prévenir les voisins proches (en face, dessous et dessous-en face) et de mettre un avertissement à côté des boîtes aux lettres et Coupin est déjà en train d’installer le tapis de protection à côté du petit morceau de cloison qui vit ses derniers instants.

Pour mémoire, on rappelle que les endroits que l’ont veut abattre sont le petit bout de cloison séparant l’entrée du salon et le mur séparant le salon de la cuisine.

Les photos de notre première visite de jour sont là.

(Je rappelle que ce plan est complètement faux dans ses proportions, mais c’est pour que tu visualises mieux de quoi on cause.)

Le premier coup de masse

Après déblayage des gravats au sol, l’entrée ouverte ressemble à ça :

Pendant qu’Annélé, Damien et moi faisons le premier voyage à la déchetterie, Coupin attaque le grand mur.

Y'en a qui casse et d'autres qui ramassent. Travail d'équipe !

Je n'ai pas d'autres photos de "l'après" (complètement oublié)

On a fait tomber le mur en entier, y compris le tour de porte, emmené tous les gravats (bravant les interdits de la déchetterie) et balayé tout l'appart, ainsi que l'ascenceur et le hall d'entrée de l'immeuble (qui était blanc de poussière).

Une fois qu'on était six, tout est allé très très vite, dans la bonne humeur et sous le soleil, on ne pouvait rêver mieux !

Une ptite glace sur tout ça et il est 18h.

Demain, tout le monde aura plus ou moins mal au dos et j'aurai un gros bleu sur le genou droit (un tiroir de meuble m'a sauvagement attaqué) mais on est hyper content d'avoir pu tout faire dans la même journée !

Samedi dernier, à la salle d’escalade se tenait la deuxième compétition de bloc de l’année.

Le principe ? Deux ou trois grimpeurs se motivent pour ouvrir entre 40 et 50 blocs de différentes difficultés. Tous les grimpeurs qui le souhaitent s’inscrivent et essayent tous les blocs de leur choix. Aucune contrainte de temps ou de nombre d’essais, l’esprit est bon enfant.

Les petites particules blanches présentes sur quasi toutes les photos, c'est la magnésie en poudre en suspension dans l'air. Vous savez, cette poudre qui empêche la transpiration excessive des mains.

À la fin de la compétition, plus un bloc a été fait moins il vaut de point, plus un bloc a résisté aux grimpeurs plus il vaut de point. On fait un ptit total et cela nous donne un classement.

Léo sur la prise de fin

Marion à la sortie du toit

Brice dans le grand dévers

Delphine dans le coin

Damien dans le toit

Carlos sur le bombé

Paul sur le bombé

Thierry sur le bombé (il a bien résisté le bombé)

Nico surveillé de près par Morgane

Morgane sur le mur du fond

Coline sur le petit dévers

Cette fois, le premier garçon et la première fille gagnait une médaille et d’autres lots étaient attribués au hasard pour que ça ne soit pas toujours les mêmes qui gagnent quelque chose.

Après l'effort, le réconfort : un giga barbecue était organisé !

Comme je le disais pas plus tard que là, normalement jeudi matin on signe la vraie vente de cet appartement qui sera notre premier chez nous à nous.

Dans le même article, je pestais contre le notaire qui nous demandait la maudite somme de six mille cinquante euros de frais de notaire. Je pensais alors que le notaire n'avait pas pu appeler cette somme auprès de la banque.

C'était sans compter sur notre adorable banquier qui revient de congés aujourd'hui et qui m'explique que le notaire (en mousse) s'est totalement trompé et que oui oui, il peut bien appeler la somme qu'il veut à la banque vu que de toute façon on signe un accord avant que le virement soit effectué.

Le notaire a donc appelé la somme de 132 300 € à la banque (soit le montant total du prix de l'appartement) alors qu'il aurai dû appeler la somme de 132 300 - 5 000 (avance sur le prix versée au moment de la signature du compromis de vente) + 6 050 (frais de notaire) soit = 133 350 €.

Et bien sûr c'est le banquier qui m'explique tout ça. Heureusement quand même qu'il y'en a qui connaissent leur boulot ! ON N'EST PAS AIDE HEIN !!!

Je dois donc, dans l'après-midi, appeler le notaire (qui n'est joignable que...nan jamais en fait), lui expliquer SON job puis rappeler le banquier (gentil lui) pour lui dire ce qu'il en est.

On le sent que je suis un tout petit peu à bout là ou pas ?

J’avoue, le blog est complètement en friche.

C’est que rien n’avance, tout est au point mort et nous avons la désagréable impression de ne faire qu’attendre !

Appart

Nous avons envoyé tous les papiers de la banque et de l’assurance au notaire puis il est tombé malade pendant une semaine. Donc on attend qu’il donne signe de vie pour la signature.

Et bien sûr, pendant ce temps, les travaux n’avancent pas.

Mariage

Nous avons envoyé un mail au resto qui nous avait fait un devis à 80€ par personne pour le mariage en lui disant que c’était bien au dessus de nos moyens et il a répondu qu’il allait réétudier notre cas. Donc on attend qu’il donne signe de vie. Pour la peine, on test un nouveau resto demain midi.

Et bien sûr, pendant ce temps, la date du mariage approche.

Sinon, les jours rallongent et on a passé tout notre samedi à crapahuter dans la forêt avec Coupin et Cyril. Au top !

Et chez vous, comment ça va ?

(Terrain vague)