Félicitations à Séverine d’avoir trouvé la cachette du message 6.
Qui trouvera la prochaine ?
Pour rappel, lien vers le message 5.
Félicitations à Ginie d’avoir trouvé la cachette du message 4.
Qui trouvera la prochaine ?
Celui-là nous a pris un peu de temps...
Un petit indice : l'homophone en question ce n'est pas le nom de l'objet, c'est la matière qui le constitue.
Deuxième indice : l'homophone est nature, il se mange salé ou sucré selon ce qu'on met dessus. Sans le "a" de celui qui se mange, on écrit le nom d'un arbre avec lequel on fait des meubles.
Félicitations à Ginie d'avoir trouvé l'emplacement de la cachette donné par le message 2.
Qui trouvera la prochaine ?
3
Celui-ci sera peut-être un peu plus difficile étant donné que vous ne connaissez pas le prénom de Ma Très Chère Amie C. Mais vous avez déjà la première lettre. Peut-être un petit lien vers les arbres que je possède pourrait vous mettre sur la voie ?
Pour la venue de ma Très Chère Amie C, j’ai demandé à Coupin de nous organiser une chasse aux œufs dans l’appartement.
Je vous propose de la vivre presque en ‘live’.
Voilà les deux premiers messages que nous avons eu.
1
2
Je vous mets le prochain dès que quelqu'un découvre la première cachette ! Tous à vos commentaires !
J’étais dans une rue commerçante de ma ville à la recherche d’une paire de ballerine avec Etam en point final, où Didia m’avait assuré que je trouverais mon bonheur, lorsque mon téléphone a sonné : J. "Je me gare à l’instant, ça te dit on se retrouve pour faire du shopping ?" "Ah bah justement je suis à cinq minutes de là où t’es, rejoins-moi, on fait la fin de la rue ensemble puis on ira ailleurs."
Du choix dans les boutiques, mais rien de très original. Toutes les ballerines ont une fleur ou un petit nœud, pareil à Etam.
(J'ai failli prendre celles là)
Grâce à la voiture de J, nous avons pu sortir un peu de la ville pour rejoindre un grand magasin de chaussure, lui même à côté d’un grand magasin de vêtements (J cherchait activement un nouveau jean, en taille 36 (je te hais)).
Là pour y avoir du choix il y avait du choix !
J’ai bien dû mettre une demi heure à arpenter tous les rayons à la recherche de LA paire qu’il me fallait. J’ai hésité entre une paire de ballerines complètements blanches mais très craquantes et une paire grise.
Finalement j’ai pris les grises.
(19,99€)
(Habituellement je chausse du 39, mais là je les perdais)
J’ai également craqué pour une paire de chaussures avec un talon plus important. Lorsqu’elle les a vu, J a dit "Mwouais, ça fait femme mâture, limite vieille". Lorsque je les ai enfilé elle a dit "Prends les !"
(29,99€)
(Le truc beige ce sont mes semelles orthopédiques)
Du coup, j’ai pris les deux paires. Merci J de m'avoir conduit !
L’article d’aujourd’hui de Mère Bordel a fait écho en moi parce que j’ai vécu une situation quasi similaire hier soir.
Hier soir, par flemme de faire à manger et pour changer des pizzas, nous avons été chercher notre repas à Quick.
À la caisse, nous avons été servi par une ancienne collègue avec qui j’avais de bons rapports et qui nous a un peu raconté sa vie. Au moment de partir, une autre est venue me dire bonjour et me demander mon numéro de téléphone pour "m’inviter à la prochaine soirée Quick ou aller se boire un verre un soir".
Je lui ai donné avec enthousiasme mais, une fois à la voiture, je me suis rendue compte qu’en fait l’idée ne m’enchantait pas spécialement. J’ai d’abord cru je ne voulais pas revoir les gens de Quick, parce que je n’y travaille plus, parce que j’ai peur qu’ils ne parlent que de ça toute la soirée, parce que je ne suis plus dans l’ambiance.
Je ne suis plus dans l’ambiance. C’est ça. Les soirées beuverie jusqu’à pas d’heure, le mal de tête le lendemain, les envies de vomir qui te font dire ‘plus jamais’, l’argent jeté par les fenêtres, le bruit, la musique trop forte, les discussions impossibles finalement. Tout ça, je l’ai vécu (notamment avec les potes d’Allix), mais tout ça est derrière moi, je n’ai plus envie.
J’aime recevoir, autour d’un repas ou non, tranquillement, à la maison. J'aime prendre le temps de cuisiner et de prendre soin de moi. J’aime discuter, échanger, jouer à des jeux de société en toute simplicité. Je ne suis plus dans le paraître, m’habiller à la dernière mode, trop me maquiller pour être remarquée. Je ne suis plus dans l’apparence, dans les concours d’alcool ou autre. Maintenant j’ai besoin de vrai. J’ai besoin de connaître les gens, de savoir ce qu’ils font dans la vie, de m’intéresser à ce qu’ils aiment, de nous découvrir des centres d’intérêts communs. Je n’aime plus me presser pour les happy hours, changer d’endroit mille fois dans la soirée, ne pas trouver de place assise, piétiner dans des endroits où on ne peut pas danser, sentir les regards sur moi, devoir être toujours au courant de tout, toutes les nouveautés, dans tous les domaines sous peine de paraître has-been.
Aujourd’hui, j’ai une vie assez rythmée pour être rassurante et finalement qui laisse aussi toute sa place à l’imprévu. Je prends mon temps pour faire bien. J’essaye d’être au plus près possible de la nature : déplacements en vélo, sorties en extérieur, pour profiter à fond de la Corse et de ses merveilles. Je suis bien dans notre chez nous qu’on refait à notre sauce et qu’on meuble à notre goût petit à petit. J’en avais assez de vivre dans le dépareillé, de bric et broc, la récup d’à droite à gauche. Je n’ai jamais été aussi bien avec Coupin, la vie est tellement douce et simple à ces côtés !
J’aime ma vie comme elle est aujourd’hui : simple, naturelle, douce, tranquille.
Je vieillis ? Peut-être bien, mais si vous saviez comme c’est agréable d’être zeeen, de savoir où on va et surtout comment on y va !
Je vous laisse, j’ai une camomille qui m’appelle.
Il y’a plusieurs semaines déjà, j’avais acheté une mangue qui s’était révélée moisie.
Au milieu, le noyau ouvert laissait presque échapper l’amande à l’intérieur.
Alors que j’étais sur Internet pour chercher comment faire pousser cette amande, je suis tombé sur cet article à la Une d’HelloCoton.
J’ai donc respecté scrupuleusement la marche à suivre, plaçant mon récipient sur le meuble de l’aquarium, bien au soleil et près du radiateur. D’ailleurs je n’ai arrosé la plante qu’avec l’eau de l’aquarium car il paraît qu’elle est très riche en tout plein de trucs bons pour les plantes. J’ai recréée le climat ‘serre’ en mettant du film plastique alimentaire sur mon récipient et en le perçant à la fourchette.
J’arrosais régulièrement mais je n’y pensais pas plus que ça. La racine est sortie assez rapidement.
En début de semaine, Coupin m’a demandé "ben alors, il en est où ton manguier ?"
Quelle surprise de voir qu’une pousse était déjà sortie avec de mini feuilles !
Comme conseillé sur le blog de Jasmine, j’ai mis ma plante en terre, le noyau à l’horizontal (dans une petite assiette creuse) en arrosant copieusement la terre et en ne touchant surtout ni la pousse, ni la racine.
Le lendemain matin, la pousse s’était déjà redressée.
Magie !
Je suis super enthousiaste pour la suite quand je vois à quelle vitesse pousse celle de Jasmine !
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